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Les échanges de données concernent un nombre toujours plus important de disciplines. De fait, les questions d’interopérabilité ont pris une place considérable tant en terme de volume de données qu’en terme de type de données. Le modèle étant devenu la base de travail de toujours plus de domaines et ayant largement dépassé son champ d’action initial, celui de la CAO.
La stratégie de Datakit est basée sur le respect des données originales de la pièce ou de l’assemblage et des intentions du concepteur. Par conséquent, la société est profondément attachée à l’exploitation des formats natifs, qui seuls garantissent à l’utilisateur la possibilité de récupérer une structure complète de données CAO et un maximum de types de données. Datakit s’engage d’ailleurs régulièrement sur la récupération de données spécifiques à des domaines particuliers.
Datakit s’attache à découper les entités d‘une pièce ou d’un assemblage de la façon la plus fine possible et à créer des structures qui permettent de stocker toutes les entités de sorte qu’elles soient disponibles pour toutes les applications concernées. Ses solutions ne fonctionnent pas comme des boites noires, mais assurent un maximum de transparence pour l’utilisateur.
D’un point de vue technique, le remplacement du mode surfacique d’IGES par le format STEP est une des plus importantes évolutions du monde des échanges de données de la décennie passée. Cette évolution est due à la capacité de STEP de mieux gérer les solides et les assemblages. Datakit est fortement impliquée aux côtés des institutions gérant l’évolution de la norme.
Motivés par les gains de productivité possibles, les industriels ont tendance à travailler de plus en plus à partir des modules FTA de Catia V5, des PMI d’UG et globalement avec toutes les données de ce type. Savoir échanger des modèles 3D qui intègrent des informations de dimensionnement et de tolérancement, devient alors primordial. Précurseur dans son approche, Datakit s’intéresse à ce sujet depuis de nombreuses années. Ses relations privilégiées avec des acteurs du métier du contrôle et de la métrologie ont favorisé cette démarche. Pour eux, disposer de ces informations au cœur même du modèle 3D est un gage complémentaire de qualité. Les éditeurs, spécialisés dans les outils de visualisation, sont aussi parmi les premiers à s’intéresser à cette technologie ainsi que les grands groupes industriels, soucieux de supprimer l’utilisation du plan 2D papier des ateliers.
Comparer le modèle virtuel et l’original, juger de la qualité du modèle, le corriger ou le simplifier sont des problématiques auxquelles Datakit apporte des solutions particulièrement appréciées par les bureaux d’études, de développement et de fabrication.
Des échanges de données CAO fiables et complets sont des facteurs clefs de succès dans la course à la diminution du temps nécessaire au lancement d’un produit. Récupérer correctement les données relatives à une pièce ou un assemblage n’est plus le seul souci des bureaux d’études et de développement. La question se pose d’un point de vue beaucoup plus général et concerne l’entreprise dans sa globalité. Parmi les champs d’application concernés, la CAO et la CFAO dominent encore, mais la métrologie, le prototypage, la simulation numérique, la visualisation et le rendering jouent un rôle majeur dans le développement des échanges de données CAO. Signe des temps, parmi les nouveaux éditeurs qui ont choisi Datakit, figurent des acteurs du design, du reverse engineering, de l’édition de documentations, de la visualisation, du rendering et de la qualité.